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mercredi 13 octobre 2010

un oeil sur la ville

la ville immense si peu tranquille
un ciel si gris, nuages futiles
voitures pressés, piétons stressés
rentrent dans des grosses boites empactés
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marrée humaines, foule qui se traine
visages à rides et yeux livides
je cherche un rire ou un sourire
les traits se tirent ou parfois pires
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meme les regards sont dérisoires
cernes plissées broyants du noir
je cherche une voix ou un regard
visage fuyants sous leur canards
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les gens sont sourds à leur amour
les cris du coeur leur font trop peur
musique à fond dans les oreilles
portables, ipod, autres appareils
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que me veux tu vieux malotru
pourquoi donc me regardes tu?
de toute facon je ne t'entends plus
reste dans ta bulle ou je te tue
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perte de contacte, je me retracte
j'ai ma méthode quand tu m'attaque
je ferme les yeux et je m'évade
sur mon cheval et je gambade
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parfum léger et ennivré
fleurs parfumés, senteurs poivrés
je me sens ivre et dénudé
sur sa crinière bien accroché
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pas de limite a mes pensées
j'aimerai bien te faire visiter
ce monge magique et idyllique
qui defie les travers obliques
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allez sortez bande de minus
vous etes déjà au terminus
allez vous donc quitter mon bus
j'le dirai pas une fois de plus
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tres bien monsieur le conducteur
au fait dites moi vous avez l'heure
vous etes en retard d'une demi heure
j'en parlerai au supérieur
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et moi dans mon coin en silence
je jubilais j'étais en trans
pourquoi partir plutot en rire
lorsque d'un coup les choses empirent
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quoiqu'on en pense l'indifférence
est parfois pire que la violence
quand la provoc fait réagir
elle deride nos visages de cire.
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la mythologie de l'amour

le jour se lève comme dabitude pourtant c'est un jour nouveau
et les rayons du soleil assèchent tout nos idéaux
il nous réchauffe à l'intérieur nous fait endormir nos torpeurs
et nous rappelle à coeur ouvert le temps de nos jours meilleurs.

L'explosion de ses rayons qui partent dans tout les sens
sont un peu comme toi et moi à la recherche de nos sens
le moteur de notre vie à brulé tout son esssence
on regarde vers notre étoile mais c'est plus à la même qu'on pense

les rayons du soleil ont désséchés notre peau
notre amour inconditionnel nous a guidé bien trop haut
on croyait être deux anges et titiller les oiseaux
mais lorsqu' on a croisé icare on avait plus d'ailes dans le dos

semi conscient près de la montagne
on repartait à zéro
c'était un zéro absolu
sans voie ni aucune issue

mais dans ce tournant décisif
on vit passer le brave sysiphe
se depéchant d'un air hâtif
pour gravir encore le massif

on pria Dieu d'un air soucieux
que Cupidon réveille ses dons
et nous décoche à sa facon
deux flèches d'or dans nos coeurs de plomb

mais en réponse à nos attentes
Zeus répondit sans se faire attendre
par des éclairs bien qu'éphèmeres
suivis de terribles coups d'tonnerre

Plus rien à faire comme Demeter
enterrés de six pieds sous terre
dans le royaume d'Hadès
si tu te retournes tu es en pièces...